« Cap » évoque la recherche de la finalité qui fait sens, met en mouvement et oriente l’action.
« Apsara » provient d’un mythe de l’hindouisme (ap=l’eau et sara=l’essence). Nymphes célestes, les Apsaras sont issues de la mer, de la légèreté de son écume, mais aussi de sa force, d’où leur nom : « essence des eaux ».
En lien avec la symbolique de l’eau, elles évoquent l’« infinité des possibles » que l’on peut relier au potentiel de changement sans limite de l’être humain. Les Apsaras représentent aussi plus précisément les « possibilités informelles » : présentes, disponibles, prêtes à être révélées …
Par ailleurs, l’eau évoque pour moi les torrents et cascades de montagne qui m’émeuvent vivement.
L’immanence de la montagne, en effet, fait fi de toutes les agitations terrestres et temporelles. Elle ramène à l’essentiel, à la profondeur. L’eau des torrents quant à elle renvoie au jaillissement, à la générosité et à l’élan de vie que rien ne retient. Chacun ayant besoin de l’autre … dans une complémentarité précieuse.
Et puis c’est auprès des sources et des points d’eau en général, lieux de joie et d’émerveillement, que s’opèrent depuis toujours les rencontres essentielles !
Ainsi le coaching tel que je le conçois est un lieu de ressourcement qui permet, dans l’espace de la relation, interpersonnelle ou collective, de se connecter à l’essentiel, tout en se projetant dans sa vie avec harmonie, enthousiasme, et efficacité.
Pour en savoir plus …
Et le logo de Capsara? …
Le coquillage du logo de Capsara évoque ce mouvement qui part de l’intérieur de soi et se déploie vers le monde pour offrir sa plus belle contribution, tout comme l’équipe a besoin de se centrer sur elle-même et sur ses besoins pour apporter les plus beaux résultats à l’entreprise à laquelle elle se consacre.
La coquille, évoquant les eaux où elle se forme, participe du symbolisme de la fécondité propre à l’eau. Les chinois l’associaient aux notions de prospérité, et de chance. Dans certaines civilisations, la coquille est liée à l’idée de la mort, en ce sens que la prospérité qu’elle symbolise procède de la mort de l’occupant primitif. Or changer implique de renoncer, de faire le deuil de certains comportements et des bénéfices qu’ils supposaient…